Du Boudin, DC Salas et Asa Moto

Faire la review d’une Boudin Room, c’est comme raconter à des amis une histoire qu’on leur a déjà contée plus d’une fois, mais qu’ils feignent de n’avoir jamais entendue pour ne pas nous froisser.

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D’une part, car un échantillon relativement représentatif des différentes contrées de notre joli pays s’y retrouve, chacun prêchant l’expérience atour de lui. Et d’autre part, car vous avez surement été plus d’un à nous regarder manger du Boudin — avec un grand B oui — en streaming live ou via les différents médias présents pour couvrir l’événement.

C’est donc l’histoire relativement brève de quelques dizaines de personnes se donnant rendez-vous chez des inconnus pour écouter du bon son et manger du bon boudin. Il est 16 h et ça ne présage rien de bon lorsqu’il est question d’envisager l’état d’ébriété dans lequel nous nous retrouverons quelques quatre heures plus tard.

Des stars de vos tout petits écrans, c’est ce que nous sommes alors que nous nous esquintons à faire passer le temps en s’intéressant aux vies de chacun, venu pour de toutes autres choses que ça justement. L’occasion pour les habitués de se mêler aux chanceux gagnants des nombreux concours permettant d’accéder à cet interlude festif.

Bien qu’adoratrice de musique, mon attention s’est plus difficilement qu’à l’accoutumée concentrée sur les performances de DC Salas et d’Asa Moto tant le spectacle qui se jouait parallèlement était attractif. Je suis loin d’être une journaliste spécialiste en musique ou en charcuterie, mais pour l’une comme pour l’autre, je sais dire quand c’est de la bonne.

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