Boulet Room!

Boiler Room, la sacro-sainte messe de la musique électronique où tout le monde veut aller pour montrer son plus beau dance move a envahi le pôle image à Liège pour une soirée avec Boys Noize, Nastia et Sterac. 

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Boiler Room!
Ce sont deux mots que l’on retrouve sur les « to do list » de chaque hipster fan de techno intelli-chiante qui rêve d’exhiber son tout dernier tee-shirt 100 % vegan devant une caméra.

Ces deux mots sont aussi (et surtout) le nom d’un projet qui, depuis 8 ans maintenant, sillonne les villes du monde entier pour y organiser divers événements musicaux qui sont visionnables en live.

Bon, il faut aussi préciser que pour y accéder vous devez soit avoir une invitation, soit être tiré au sort après vous être inscrits.

Et comme la vie fait bien les choses de temps en temps, ce mercredi Boiler Room posait ses valises à Liège et j’ai été sélectionné par mes chers camarades de LifeStage pour devenir reporter d’un soir de cet événement.

19 h 45 nous voilà donc arrivés devant le spot et à mon grand étonnement il y a une file de 50 mètres pour rentrer, chose assez rare pour un événement à Liège.

On s’engouffre dans la salle, que l’on peut qualifier de centre promotionnel géant pour Eristoff et comme tout bon Liégeois le premier réflexe est de se diriger vers le bar. Le vodka bar ! Avant de partir, je savais que cette Boiler était un piège, après avoir vu la carte j’ai su que j’allais devoir être fort pour éviter ce piège… Quand on m’a gentiment annonce que le bar était all-in avec mon pass presse, j’ai arrêté de me voiler la face, j’étais piégé.

Le temps de boire quelques verres et la salle commençait à être full, Nastia enchaînait une techno assez smooth pendant que les premières pouffiasses se positionnaient à un endroit stratégique pour être sûres d’être visibles sur internet #tristevie

22 h 30, Boys Noize arrive aux platines et envoie grosses frappes sur grosses frappes. Berlin se trouve à Liège l’espace d’un DJ set. Tout le monde est déchaîné et entre deux stops au bar je ne peux pas m’empêcher de taper du pied tout en brandissant mon poing en l’air (mon dance move que je travaille depuis 12 ans).

Un sans-faute pour Boys Noize, dommage pour l’acoustique de la salle qui était vraiment pourrie si tu ne te trouvais pas proche du DJ.

Bilan de cette soirée : une gueule de bois magistrale, un super taf de la part de l’organisation qui a fait un sans-faute, un super tee-shirt Boiler Room et une série de photos qui arrivera dans les prochains jours.

Dimitri Loneux

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